Je sais, c'est triste mais je me meure.
Bonjour. (violons)
Je sais, petit parcoureur de l'infini Internet, avide de savoir, qui te questionne sur l'origine du monde, sur le pourquoi du comment, je sais, triste poussière sur l'espace et le néant, que tu as très envie de voir mes gribouillis. Mais, petit bloggeur, tu vas être déçu.
Car, seule, perdue, égarée, je n'ai pas le courage, le temps, la volontée de scanner des feuilles sur lesquelles j'ai appliqué des terres de différentes couleurs et un peu de charbon.
(c'est fini toutes ces pensées philosophiques à la noix ?)
J'ai retrouvé une vieille planche colorée où je n'avais même pas mis les textes. Je traine mes fesses derrière mon écran pour vous poster ce maigre repas, affamés de dessins, bloggeurs assoifés de changement dans votre piègue existence.
Je sais c'est cour et ... niais... mais tant pis.
Il faut bien donner à manger aux cochons.
Et au pigeons...
Vous vexez pas, je rigole (ou pas !)